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Golden Compass : analyse d'un échec et d'un succès
Après le fort démarrage du film au Japon, Variety fait les comptes, les règlements de comptes et le point sur les suites.
Dans l'histoire du cinéma américain, The Golden Compass va être le premier film à rapporter 300 millions de dollars à l'étranger tandis qu'il ne va même pas atteindre les 100 millions sur le continent Nord-Américain. Aux yeux de Deborah Forte, productrice du film pour Scholastic Entertainment,avec une prévision de résultat autour des 400 millions de dollars et un oscar, ce film est un succès.
Mais par pour New Line Cinema. La politique du studio est de vendre les droits du film aux différents distributeurs afin par ce seul moyen de rentabiliser le budget de base du film. (180 millions) Le bénéfice se fait donc uniquement sur les entrée en Amérique du Nord. Ils gagnent dont très peu d'argent avec le succès international et le bide local ne remplit pas suffisamment les caisses.
Pourquoi un tel échec aux Etats-Unis et un succès à l'étranger ? La stratégie de New Line est pointée du doigt part Deborah Forte et les distributeurs étrangers. Le studio américain aurait semble-t-il trop compté sur la popularité de l'œuvre pour s'assurer une auto-promotion. Pour Deborah Forte, la qualité du film n'est pas en cause. "Si le film était vraiment mauvais, il n'aurait pas fait 300 millions."
L'aspect anti-religieux de l'œuvre a certainement joué dans un pays si puritain. De plus les films de fantasy marchent généralement mieux en dehors des USA. Mais ce n'est pas suffisant pour expliquer ce bide sans précédent.
Difficile pour New Line de reconnaître que les distributeurs étranger ont fait un meilleur travail qu'eux pour positionner A la Croisée des Mondes comme un film familial et anticiper les controverses. L'Italie est un pays également très religieux, où vit le pape qui lui-même avait attaqué le film. Pourtant La Boussole d'Or y a remporté un vif succès. La responsable marketing de 01 (le distributeur local) explique : "En ayant un dialogue avec la presse catholique, nous avons pu limiter la controverse et les anti-religieux qui ont été si dévastateurs aux usa." Selon elle, New Line a trop tardé à promouvoir le film sur son territoire.
Deborah Forte essaie aussi de trouver des explications et loue le travail des distributeurs étranger. "Nous avons probablement échoué aux États-Unis, et nous avons réussi comme prévu en dehors. Pourquoi? C'est difficile de le dire. Les gens disent que la fantasy fait mieux de l'autre côté de l'océan, et que le livre était mieux connu, mais je ne suis pas sure que ce soit vrai. Le livre n'était réellement connu qu'au Royaume-Uni et en Australie. La plupart des distributeurs étrangers ont construit la réputation du film à partir de rien."
Tandis qu'à l'étranger A la Croisée des Mondes était présenté comme un film familial destiné aux pré-ados de 8-13 ans, New Line a voulu vendre son film comme un nouveau "Seigneur des Anneaux" à un public adolescent et jeune adulte. Ils sont ressortis des salles déçus et ont conseillés à leurs amis de ne pas voir le film.
Deborah Forte ne blâme pas New Line mais leur a demandé de rectifier le tir pour la promotion du DVD.
Depuis le succès du Seigneur des Anneaux, A la Croisée des Mondes était le seul film de New Line à remporter un réel succès à l'étranger.
"Ce fut un succès en tant que film familial dans de nombreux pays, c'est une franchise très forte pour la famille, il a gagné un Oscar. Nous devons faire le second et le troisième film" clame Deborah Forte.
Mais au vue de la nouvelle situation de New Line au sein de la Warner, réaliser un film à gros budget ne fait plus partie de leurs attributions. On ignore encore les intention de Warner Bros suite au bide nord-américain, mais ils pourraient bien accueillir favorablement le script déjà écrit de La Tour des Anges et le dernier volet Le Miroir d'Ambre. Le film pourrait y gagner en bénéficiant de l'expérience acquise avec la saga des Harry Potter.
Il est certain que les distributeurs étrangers sont prêts à accepter les suites... si on les leur propose. En effet, la Warner dispose de son propre réseau de distribution.
Qu'importe ce que l'avenir nous réserve, Deborah Forte compte bien se battre : "Je ferai La Tour des Anges et le Miroir d'Ambre. Je pense qu'il y a suffisamment de personnes qui voient quelle franchise viable et à succès nous avons."